SEVIKAR” und “SEVCAD” (Pharmazie) wegen Vokalfolge und Silbenzahl nicht verwechselbar

Das BVer­wGer kommt gestützt auf die Recht­sprechung zur Ver­wech­sel­barkeit von Zeichen im Bere­ich phar­mazeutis­ch­er Pro­duk­te* zum Ergeb­nis, die Zeichen “SEVIKAR” und “SEVCAD” seien nicht ver­wech­sel­bar iSv MSchG 3 I c.

*Dans le domaine des mar­ques de pro­duits phar­ma­ceu­tiques com­posées de plusieurs syl­labes, l’ex­is­tence d’un risque de con­fu­sion a générale­ment été admis lorsque les mar­ques ne se dis­tin­guaient que par leur syl­labe médi­ane ou finale (p. ex. Alucol/Aludrox). Par con­tre, la jurispru­dence admet qu’une dif­férence dans la syl­labe d’at­taque est en général pro­pre à exclure un risque de con­fu­sion (p. ex. Xylocain/Celecain) ; toute­fois, si cette dif­férence n’est que faible, un risque de con­fu­sion doit cepen­dant être admis (p. ex. Leponex/Felonex) (voir sur l’ensem­ble de la ques­tion l’ar­rêt du TAF préc­ité B‑4070/2007 con­sid. 5.1 Levane/Levact et les réf. citées). Lorsque, comme c’est le cas en l’e­spèce, les mar­ques en cause se car­ac­térisent par un nom­bre de syl­labes dif­férent, l’ex­is­tence d’un risque de con­fu­sion dépend avant tout de la ques­tion de savoir si la syl­labe mar­quante du signe antérieur est reprise dans la mar­que attaquée.