Das BGer bestätigt seine Rechtsprechung, wonach bei der Bemessung der Entschädigung bei ungerechtfertiger fristloser Entlassung iSv OR 337c auch die Dauer bis zu einer neuen Anstellung des Arbeitnehmers zu berücksichtigen ist:
“[…] la cour cantonale [VD] était en droit de tenir compte du fait qu’il avait retrouvé rapidement un emploi mieux rémunéré. En effet, le temps que l’employé met à obtenir un nouveau travail est propre à aggraver l’atteinte causée par le congé injustifié et peut à ce titre être pris en considération (arrêt 4C.159/1995 du 19 mars 1996 consid. 5a). En l’occurrence, le réengagement rapide du recourant démontre aussi que sa bonne réputation sur le marché du travail n’a pas été ternie par l’attitude de l’intimée.”
Im vorliegenden Fall schützt das BGer die Höhe der Entschädigung von einem Monatslohn.