Das BGer äussert sich im vorliegenden Urteil zum Chartervertrag, der in der Schweiz nur für Schiffe gesetzlich geregelt ist (SSG 94 I). Für Flugzeuge wird der Chartervertrag im BG über das Luftfahrzeugbuch, Art. 5 lit. d, nur erwähnt. Die Legaldefinition von SSG 94 wird von der Lehre allerdings als verallgemeinerbare Defnition verstanden:
“Ainsi, l’affrètement est un contrat par lequel l’une des parties, le fréteur, s’oblige à mettre à disposition de l’autre, l’affréteur, moyennant rémunération (le fret), tout ou partie de la contenance d’un moyen de transport, en conservant la possession et le contrôle de celui-ci (ce qui distingue l’affrètement de la location); il s’agit de la mise à disposition d’un moyen de transport pourvu d’un équipage, l’affréteur déterminant lui-même la marchandise ou les passagers qui doivent être transportés (ce qui distingue l’affrètement du contrat de transport). […] Ce contrat se situe à mi-chemin entre le contrat de bail (art. 254 CO) et le contrat de transport (art. 440 CO) […]. L’art. 404 CO permettant de révoquer ou répudier un mandat en tout temps ne lui est pas applicable […].”
Im vorliegenden Fall wurde erfolglos versucht, einen Chartervertrag wegen Willensmängeln anzufechten. Es lag weder Arglist vor noch ein Irrtum über eine zukünftige Tatsache iS der bundesgerichtlichen Rechtsprechung (sondern lediglich eine Hoffnung, die sich nicht erfüllt hatte).