Der Schweizer Pferderennsport-Verband durfte ein Pferd disqualifizieren, nachdem eine verbotene Substanz (4‑MAA; hier als Abbauprodukt des Medikaments Metamizol) nachgewiesen worden war, und zwar unabhängig von der Konzentration der Substanz und der Frage, ob die nachgewiesene Menge überhaupt eine Leistungssteigerung bewirken konnte.
Dies ergab sich aus einer Abwägung zwischen dem Interesse des Verbands an der Effizienz der Dopingbekämpfung einerseits und dem Interesse der betroffenen Einzelnen, hier des Eigentümers und des Trainers eines Pferdes, denen das Preisgeld nachträglich aberkannt worden war:
“Il en va de l’efficacité du combat antidopage que les associations disposent d’une base indiscutable. L’examen dans chaque cas particulier des éventuels effets de la substance décelée sur la performance ne manquerait pas d’ouvrir la porte à des appréciations et à des discussions sans fin et de créer des disparités de traitement selon les situations (particularités des phases de résorption, tolérances individuelles). Il s’agit d’éviter de longs débats sur l’effet que la substance a pu ou n’a pas pu avoir, dans un cas particulier, sur les performances sportives, un tel effet étant au demeurant impossible à quantifier. Le recours, en l’espèce, à moults expertises et avis de spécialistes sur le sujet en est la parfaite illustration. Ce souci d’efficacité l’emporte sur l’intérêt des recourants au prononcé d’une sanction tenant compte de l’influence du produit prohibé sur la performance.”
Bei dieser Prüfung ging es nicht um die Überprüfung der Auslegung von Statuten und Reglementen eines Vereins — nach einer Lehrmeinung auf Willkür beschränkt -, sondern um die Frage, ob ihre Anwendung zu einer Persönlichkeitsverletzung geführt hatte. Die Gerichte sind bei dieser Prüfung frei.