4A_402/2013: Arbeitsvertragliche Ausgestaltung von Provisionen

Eine Immo­bilien­mak­lerin klagte gegen ihre frühere Arbeit­ge­berin auf Zahlung ausste­hen­der Pro­vi­sio­nen. Die Beklagte hat­te unter anderem gel­tend gemacht, dass Pro­vi­sio­nen im Sinne von Art. 322b Abs. 1 OR vere­in­bart wor­den seien. Eine Pro­vi­sion sei deshalb nur geschuldet, wenn ein bes­timmtes Geschäft zum Abschluss eines Ver­trages geführt habe (BGer. 4A_402/2013 vom 9. Jan­u­ar 2014, E. 2).

Das Bun­des­gericht stellte dies­bezüglich klar, die Bes­tim­mung von Art. 322b Abs. 1 OR könne zu Gun­sten der Arbeit­nehmerin ver­traglich abgeän­dert wer­den. Aus diesem Grund könne ver­traglich vere­in­bart wer­den, dass eine Pro­vi­sion auch dann geschuldet sei, wenn kein Ver­tragsab­schluss im Sinne von Art. 322b Abs. 1 OR erfol­gt ist (E. 2). Die Immo­bilien­mak­lerin drang deshalb mit ihrer Klage grössten­teils durch.

Wörtlich hielt das Bun­des­gericht fest:

Devant le Tri­bunal fédéral, la défend­er­esse sou­tient notam­ment que les quotes-parts d’hono­raires sont des pro­vi­sions aux ter­mes de l’art. 322b al. 1 CO, et qu’elles ne sont pas dues dans les deux affaires en cause parce que celles-ci n’ont pas abouti à la con­clu­sion de con­trats par les clients concernés.

De l’art. 362 al. 1 CO, il ressort que la con­ven­tion des par­ties peut val­able­ment déroger à l’art. 322b al. 1 CO à l’a­van­tage du tra­vailleur. Il est donc licite de con­venir, le cas échéant, qu’une pro­vi­sion sera due au tra­vailleur aus­si à rai­son d’af­faires qui n’au­ront pas été « con­clues » aux ter­mes de cette dis­po­si­tion. Les autorités précé­dentes ont jugé que le con­trat de tra­vail et son avenant sont « clairs ». Il est à cet égard exact que ces doc­u­ments, tels que par­tielle­ment repro­duits dans l’ar­rêt de la Cour de jus­tice, ne com­por­tent aucune allu­sion à la con­clu­sion d’un con­trat entre le client de l’em­ployeuse et un tiers, et qu’ils ne sub­or­don­nent donc pas la quote-part d’hono­raires à un pareil événement.