Im Urteil 9C_823/2010 vom 24. Juni 2011 äussert sich das Bundesgericht über die Teilung des während der Ehe angehäuften Sparkapitals der beruflichen Vorsorge im Scheidungsfall.
A. und B. die seit dem Juni 1985 verheiratet waren, wurden mit Urteil des erstinstanzlichen Gerichts des Kantons Genf am 11. Februar 2010 geschieden. Das Gericht ordnete die hälftige Teilung des während der Ehe angehäuften Sparkapitals der beruflichen Vorsorge an. Während der Ehe hatte A. einen Teil seines Sparkapitals vorbezogen, um ein Grundstück zu kaufen. Er stellte sich auf den Standpunkt, dass dieser Betrag nicht zum teilungsmassgeblichen Betrag hinzugerechnet werden dürfe, weil das Grundstück im Miteigentum gekauft worden sei. Die Eheleute vereinbarten jedoch bei der Scheidung das Alleineigentum von A. Somit profitiert A. alleine von diesem Vorbezug, da er B. keine entsprechende Gegenleistung bezahlt hatte. Art. 30c Abs. 6 BVG, wonach der Vorbezug im Scheidungsfall vor Eintritt eines Vorsorgefalles hälftig geteilt wird, findet daher ohne weiteres Anwendung.
4.3 L’argumentation du recourant n’est pas fondée. Il est constant en effet que le versement anticipé de 153’273 fr. 90 dont il a bénéficié a servi à l’acquisition d’un immeuble dont les ex-époux sont devenus copropriétaires. […] Au moment du divorce, les ex-époux se sont mis d’accord sur l’attribution en pleine propriété de l’immeuble au recourant, […]. Dès lors, A.________, propriétaire unique de l’immeuble, récupère en quelque sorte le montant de 153’273 fr. 90 investi dans la maison lors de son acquisition, sans avoir dû payer quoi que ce soit à son ex-épouse. […].
Dans ces conditions, on ne voit pas pour quelles raisons, le montant litigieux devrait être exclu du partage. Suivre l’argumentation du recourant et ne pas tenir compte de ce versement anticipé reviendrait par ailleurs à ne pas procéder au partage par moitié des prestations de sortie acquises pendant le mariage. Le recourant bénéficierait seul du versement anticipé par le biais de l’acquisition de l’ensemble de la propriété de l’immeuble de Y.________ et son ex-épouse n’y aurait plus aucun droit, alors qu’il s’agit manifestement d’un “avoir de libre passage” acquis durant le mariage (au sens de l’art. 30c al. 6 LPP).